20 octobre 2007
J’en ai déjà parlé ici : j’adore mon stage. Je fais ce que j’aime le plus, de la révision et de la rédaction, dans un contexte où les sujets sont toujours intéressants, souvent sur l’histoire ou la géographie. C’est vraiment un mixte parfait de mes intérêts et de mes capacités, surtout dans une ville que j’apprends à aimer de plus en plus.
Je suis dans un programme coopératif, donc j’alterne les sessions de stage et les sessions de cours. À la fin de mon stage en décembre, il va me rester exactement un an avant la fin de mon bac, deux sessions de cours et une session de stage l’été prochain. À mon université, c’est la règle des deux stages au même endroit qui prévaut. Ce qui fait que je suis revenue ici pour une deuxième fois, à mon plus grand bonheur d’ailleurs.
Cette semaine, j’ai rencontré ma coordinatrice de stage pour faire le bilan de mi-session. Tout va bien de tous les côtés, je suis satisfaite, ma superviseure l’est aussi, ainsi que ma coordinatrice. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Ma coordinatrice a soulevé la possibilité que je fasse mon troisième et dernier stage ici. Généralement, l’Université n’est pas chaude à cette idée, elle veut qu’on voie plusieurs milieux de travail différents. Par contre, dans les circonstances actuelles, puisque j’adore mon stage et que l’été prochain amènera les fêtes du 400e anniversaire de Québec, il pourrait être possible que je puisse revenir ici.
Mais, est-ce que je le veux vraiment? Dans un premier temps, l’idée m’a tout de suite plu. J’adore mon milieu de stage, ce que je fais, l’endroit où j’habite et, en plus, j’ai tellement préparé de trucs pour ces fameux 400e que je trouverais dommage de ne pas pouvoir y assister. Par contre, il n’y a aucune possibilité d’emploi à moyen terme ici et je ferais sensiblement les mêmes choses que lors de mes deux derniers stages, c’est probablement juste la vitesse à laquelle il faudrait que je les fasse qui augmenterait. Donc, il serait probablement plus logique que je fasse mon dernier stage dans un autre endroit, pour connaître autre chose et expérimenter de nouvelles tâches.
C’est un dilemme pour moi, qui prends rarement des risques. Le dernier que j’ai pris, c’est lorsque j’ai décidé d’abandonner mon premier bac après deux ans. Bien sûr, la décision que je dois prendre actuellement n’aura pas un si gros impact, mais quand même… Si on pouvait voir le futur aussi…
Je suis dans un programme coopératif, donc j’alterne les sessions de stage et les sessions de cours. À la fin de mon stage en décembre, il va me rester exactement un an avant la fin de mon bac, deux sessions de cours et une session de stage l’été prochain. À mon université, c’est la règle des deux stages au même endroit qui prévaut. Ce qui fait que je suis revenue ici pour une deuxième fois, à mon plus grand bonheur d’ailleurs.
Cette semaine, j’ai rencontré ma coordinatrice de stage pour faire le bilan de mi-session. Tout va bien de tous les côtés, je suis satisfaite, ma superviseure l’est aussi, ainsi que ma coordinatrice. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Ma coordinatrice a soulevé la possibilité que je fasse mon troisième et dernier stage ici. Généralement, l’Université n’est pas chaude à cette idée, elle veut qu’on voie plusieurs milieux de travail différents. Par contre, dans les circonstances actuelles, puisque j’adore mon stage et que l’été prochain amènera les fêtes du 400e anniversaire de Québec, il pourrait être possible que je puisse revenir ici.
Mais, est-ce que je le veux vraiment? Dans un premier temps, l’idée m’a tout de suite plu. J’adore mon milieu de stage, ce que je fais, l’endroit où j’habite et, en plus, j’ai tellement préparé de trucs pour ces fameux 400e que je trouverais dommage de ne pas pouvoir y assister. Par contre, il n’y a aucune possibilité d’emploi à moyen terme ici et je ferais sensiblement les mêmes choses que lors de mes deux derniers stages, c’est probablement juste la vitesse à laquelle il faudrait que je les fasse qui augmenterait. Donc, il serait probablement plus logique que je fasse mon dernier stage dans un autre endroit, pour connaître autre chose et expérimenter de nouvelles tâches.
C’est un dilemme pour moi, qui prends rarement des risques. Le dernier que j’ai pris, c’est lorsque j’ai décidé d’abandonner mon premier bac après deux ans. Bien sûr, la décision que je dois prendre actuellement n’aura pas un si gros impact, mais quand même… Si on pouvait voir le futur aussi…