Sujet de filles

26 janvier 2007

Est-ce que mes serviettes hygiéniques sont vraiment obligées de me souhaiter « bonne et heureuse semaine »??

J’ai de petites nouvelles pour toi, M. Always, parce que c’est certainement quelqu’un qui n’en a pas besoin qui a pensé à ça. Si j’utilise tes produits, mon potentiel d’avoir une « heureuse semaine » part avec du retard! (sans jeu de mots ici :p)

Je suis vivante

23 janvier 2007

Admettons que, depuis que je suis arrivée ici, je n'ai pas eu beaucoup de temps libres... Et quand j'en ai, je dors! Surtout après une bronchite, qui dure depuis deux semaines, une intoxication alimentaire... Je n'ai pas autant d'énergie que je le souhaiterais. ;)

Peu importe, en fin de semaine, c'est le Carnaval qui commence et je sors! J'ai mon effigie en caoutchouc et je compte bien l'utiliser! D'autant plus que je n'ai pas les moyens de faire autre chose... Alors vendredi, bronchite, pas bronchite, malade, pas malade, je serai au spectacle d'ouverture!

Premier weekend à Québec

14 janvier 2007

Ce n’est probablement rien pour le commun des mortels… mais j’appréhendais ma première fin de semaine à Québec… Pourquoi?

1- Je n’ai pas eu de fin de semaine libre depuis… ehhhhh, une éternité! J’avais toujours des devoirs ou je travaillais. Cet été, je gérais moi-même mon horaire, et je suis une patronne très exigeante hihi. Alors, deux journées complètes à remplir, « kessé j’allais faire avec ça! ».

2- J. repartait dans son coin cette fin de semaine-ci et, pour des raisons que j’expliquerai plus tard, je n’ai pas particulièrement d’affinités avec mes nouvelles colocs.

Heureusement, Oréole m’a sauvé la mise! On est allée marcher dans le Vieux-Québec, et grâce à elle, je n’ai pas eu l’air d’une touriste perdue! Hihi Sérieusement, c’était très agréable et ça fait du bien de marcher au grand air! En passant Oréole, j’ai refait le même trajet qu’hier aujourd’hui, toute seule et je ne me suis pas perdue! Yééééééé! Pas le droit de rire. :p

Aujourd’hui, outre aller remarcher dans le vieux, je suis allée au Clap. Mon prof de plan de communication nous en avait tellement parlé et je dois être d’accord avec lui, comme cinéma, c’est vraiment agréable comme endroit. Une autre tite-marche de 20-30 minutes. Ce n’est pas tellement loin de chez moi. Je suis allée voir Jean-Phillipe (le film, je spécifie pour Dobby :p). J’ai bien aimé, c’est une collègue de travail qui me l’avait suggéré.

Sinon, je crois que mes fins de semaines vont ressembler à ça, marcher dans le vieux et cinéma, surtout quand J. va retourner dans son coin. Admettons que j’ai découvert que mes colocataires aimaient le bavassage… Si je réécris « Quand le chat n’est pas là, les souris dansent », ça donnerait quand l’une des souris n’est pas là, les autres s’en donnent à cœur joie. Et comme je ne mange pas de ce pain-là… Au moins, maintenant je sais que je m’habille mal et que boire du jus dans la cuisine n’est pas une bonne idée puisque j’envahis l’espace de celle qui déjeune. :)

Oh My God!

11 janvier 2007

Je dois écrire un discours qui va être lu en public par un député ministre...

Jess qui capote!

Québec...

09 janvier 2007

Je suis arrivée à Québec, je ne me suis pas perdue… Yé! Non, quand même, ce n’est pas le plus important. ;) Tout d’abord, je suis sous le charme, heureusement que je n’ai pas de fenêtre dans mon cubicule, parce que je regarderais dehors en tout temps, car, selon l’angle, soit on a une vue sur le fleuve, soit on voit le Château Frontenac.

Je me suis bien intégrée à la « maison », même si c’est une adaptation de vivre avec sept autres personnes et de tout devoir partager. Au travail, je suis enchantée. Ma superviseure m’a présentée à tout le monde dès les premières minutes. J’ai même eu droit à une présentation des machines à café. Pour le moment c’est tranquille, car les gens rentraient de vacances hier, mais graduellement, je devrais avoir plus de travail. Je vais corriger et rédiger des textes pour des gens à travers le Québec. J’ai révisé mon premier texte ce matin, j’attends toujours les commentaires de ma superviseure… C’est stressant! Par contre, en le faisant j’ai appris plein de trucs, c’était un texte écrit par un historien. J’adore l’histoire!

Sinon, en fin de semaine je vais aller visiter un peu plus la ville, me perdre et me « déperdre », faire ma touriste. :)

  • Point négatif : Vivre avec 7 autres personnes = plus de microbes qui se baladent… Je suis malade, j’ai le rhume et une amygdalite… C’est J. qui me les a donnés!
  • Point cocasse : Une des autres colocs s’appelle Jessica aussi… Quand ça crie Jess… C’est le bordel!
  • Point épeurant : La toilette du travail, qui est automatique, pousse un cri de poule dont on tord le cou avant d’effectuer son travail de flushage… J’ai cru mourir de peur!

Kafka sur le rivage – Haruki Murakami

04 janvier 2007

Finalement, je n’ai pas pu m’empêcher de le sortir de la boite et de commencer à le lire… Ça doit faire quatre jours que je tourne en rond me demandant ce que je pourrais bien lire alors que j’ai déjà « emboité » tout ce que je n’ai pas déjà lu…

J’ai près de 200 pages de lues et, je ne sais pas, j’ai de la difficulté à embarquer dans l’histoire. Dans le fond, j’embarque dans les deux histoires parallèles qui évoluent séparément, pour le moment du moins, mais il y en a une tellement éclatée et l’autre tellement terre-à-terre, c’est difficile à expliquer. Sans compter que l’auteur semble prendre un malin plaisir à parler de sexe ou d’organes génitaux dans tous les chapitres sans véritables raisons apparentes… Je veux bien qu’on me dise que le personnage principal prend sa douche, mais est-ce nécessaire de spécifier qu’il se récure l’an… m’enfin!

Je vais probablement le terminer, car je veux savoir ce qu’il va arriver et parce que je m’attendais quand même à ce que ça soit éclaté, mais mon enthousiasme vient de descendre d’un cran…

Kafka Tamura, quinze ans, fuit sa maison de Tokyo pour échapper à la terrible prophétie que son père a prononcée contre lui. Nakata, vieil homme simple d'esprit, décide lui aussi de prendre la route, obéissant à un appel impérieux, attiré par une force qui le dépasse. Lancés dans une vaste odyssée, nos deux héros vont croiser en chemin des hommes et des chats, une mère maquerelle fantomatique et une prostituée férue de Hegel, des soldats perdus et un inquiétant colonel, des poissons tombant du ciel, et bien d'autres choses encore. Avant de voir leur destin converger inexorablement et de découvrir leur propre vérité.

Petit coup de gueule

03 janvier 2007

Petit défoulement de début d’année… J’envoie mon lecteur MP3 se faire réparer parce qu’il gèle sans cesse et que la pile refuse de se recharger une fois sur deux. Je le perds pendant près d’un mois et je le reçois aujourd’hui… et comme résultat : ils l’ont rechargé et n’ont vu aucun problème! Ils sont tombés sur le 50 % où il accepte de recharger et ils ne l’ont surement pas utilisé plus de 5 minutes pour voir s’il gelait… Ils n’ont pas que ça à faire…

Donc, mon lecteur s’est payé un voyage Sherbrooke-Vancouver pour un rechargement que j’aurais pu faire moi-même ici… Ça valait vraiment la peine de payer pour une garantie prolongée…

4 jours

02 janvier 2007

Quatre petits jours avant Québec. Je déménage samedi. C’est fou, c’est arrivé vite finalement. J’ai passé l’avant-midi sur le site du RTC à essayer de voir quels foutus autobus je devrai prendre pour me rendre au travail lundi et… que dalle, nada… Je dois être trop bête hihihi. En fait, oui, j’ai identifié les autobus qui peuvent théoriquement se rendre, mais je n’ai pas encore trouvé où je dois prendre une correspondance… Je crois que samedi, je vais m’installer, acheter mon laissez-passer et faire mon épicerie et dimanche, essayer les transports en commun afin d’éviter d’arriver en retard lundi matin. Ça serait plutôt une mauvaise façon de commencer mon stage. ;)

Le voyage du couronnement - Michel Marc Bouchard

En juin 1953, l'élite canadienne-française s'embarque sur l'Empress of France pour aller assister au couronnement de la reine Élizabeth II. À bord du transatlantique, le caïd des caïds, délateur menacé de mort, fuit Montréal avec ses deux fils; il devra sacrifier l'un d'eux en échange d'un sauf-conduit.

Je l’ai relu dernièrement. Je crois que c’est l’une des rares pièces de théâtre que j’aie lue, à part Zone de Marcel Dubé. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai du mal à lire une pièce, je préfère la voir. J’imagine que c’est normal, car son but est tout de même d’être représentée sur scène, mais j’aurais pensé pouvoir en lire et l’apprécier. Par contre, j’ai bien aimé l’histoire générale de Le voyage du couronnement. J’arrivais facilement à me représenter les personnages. Ce qui m’a donné envie de voir cette pièce sur scène d’ailleurs. Je dois dire qu’une lecture « libre » permet de mieux apprécier l’œuvre que la lecture obligée que j’en avais fait au Cégep.

Le monde de Narnia - C.S. Lewis

01 janvier 2007

Est-ce que j’avais de très hautes attentes quand j’ai commencé le livre? Oui, il faut l’admettre. Tout simplement parce que j’ai adoré le film et que, jusqu’à maintenant, les livres ont toujours été meilleurs que les films qu’on en avait fait. D’ailleurs, c’est pour cette raison que je suis toujours aux prises avec un dilemme, voir le film avant ou après avoir lu le livre? Quand je vois le film après, je suis nécessairement déçue parce qu’il manque des détails, ce qui est normal, mais voir le film avant m’enlève le plaisir de me représenter les personnages…

Dans ce cas-ci, j’avais vu le film avant, puisque le livre, que je ne possédais pas encore, n’était pas encore rendu en haut de ma liste à lire. Pour la première fois de ma vie, et j’espère l’une des dernières, j’ai préféré le film au livre. J’ai l’impression que l’auteur ne savait pas comment terminer son histoire, usant alors d’une entourloupette tirée par les cheveux pour arriver à ses fins.

J’avoue que je ne suis probablement pas dans la « tranche » d’âge visée par le livre. Tant pis, c’était tout de même agréable à lire et il ne me reste plus qu’à attendre le deuxième film cet été, qui sera, je l’espère, à la hauteur du premier. ;)

En attendant, je vais m’attaquer à Kafka sur le rivage de Haruki Murakami.