J’ai besoin…

26 août 2008

Un petit jeu qui navigue sur les blogues dernièrement. Taper son prénom plus needs dans Google et écrire les résultats souvent loufoques. Je vous donne ce que j’ai obtenu, avec une traduction libre. En attendant que je fasse le ménage dans mes photos de Gaspésie…

Jessica Needs To Stop Dressing Like A Slut
Jessica doit cesser de s’habiller comme une *** (je crois que la traduction n’est pas nécessaire là).

Jessica Needs Coffee
Jessica a besoin de café.

Jessica needs a bigger Al-bra
Jessica a besoin d’un plus gros soutien-gorge. (Si seulement…)

Jessica needs her "Eric" time
Jessica a besoin de son temps d’Éric??

Jessica Needs Your Help
Jessica a besoin de votre aide.

Jessica needs to come to Australia for a much awaited concert!
Jessica doit venir en Australie pour un concert très attendu.

Jessica needs a sugar daddy
Jessica a besoin d’un pourvoyeur riche qui va mourir bientôt? (Traduction très libre!)

Jessica Needs A Root Touchup
Jessica a besoin de se faire retoucher les racines. (Genre, teinture)

Vive Jessica Simpson et Jessica Alba… à l’origine de tous mes « besoins ».

Retour à la programmation normale

24 août 2008

Je suis de retour de mes vacances en Gaspésie depuis hier. Je dois dire qu’après mes 12 heures de route, je n’avais plus vraiment le goût de voir une voiture! J’ai vraiment passé de belles vacances pendant lesquelles j’ai complètement décroché, ce qui m’arrive rarement. Tellement, que j’ai l’impression qu’elles ont duré un mois, et ce n’est pas parce que je me suis ennuyée! J’ai découvert un très beau coin de pays, j’ai fait le plein d’air, de soleil et de mer. Il faut dire que j’ai eu la plus belle semaine de l’été pour mes vacances. À peine 30 minutes de pluie, de nuit en plus, en 8 jours. Le paradis!

Retour à l’université pour ma dernière session demain. Pour la première fois en 5 ans, j’ai eu mes cinq premiers choix pour mes cours. Avec une session composée uniquement de choix de cours, c’est parfait! Mon horaire n’est pas particulièrement beau (6h de cours sans arrêt à deux reprises), mais la session s’annonce stimulante, d’autant plus que j’ai choisi des cours pas nécessairement faciles, mais qui vont me faire avancer.

Je recommence également à travailler sur les campus; 21 heures de travail pour ma première semaine. Malheureusement, ça va redescendre à 11 h pour les suivantes. Je ne voudrais pas maintenir plus de 20h pendant la session, mais un peu plus m’aurait quand même aidé. Au moins, l’université continue de m’envoyer des offres pour des emplois occasionnels d’une journée. Je devrais réussir à arriver, même si je n’économiserai pas des masses.

Avec tout ça, j’ai quand même hâte de commencer… pour la dernière fois. J’ai mal au cœur quand j’y pense…

*** Obsession musicale du moment : Scorpions - Humanity ***

Ce soir commence…

14 août 2008

...mes premières vacances depuis deux ans. C’est ça le régime coopératif, cours et stages sans arrêt pendant trois ans.

J’aurais pu continuer mon stage une semaine de plus et déménager à temps pour commencer ma – dernière – session, mais j’ai décidé de penser à moi.

Demain, je pars pour la Gaspésie pour une semaine. Mon baptême de la Gaspésie! Je pars avec Jenn, son copain fiancé et mon copain. En plus, comme par hasard, deux de mes amies vont être là-bas en même temps. Du plaisir en perspective!

De retour le 24 août, avec des photos, si vous avez été sages. ;)

Dépendance

13 août 2008

J’ai toujours eu peur de développer une dépendance. Sans doute parce qu’il y en a beaucoup dans ma famille. Dépendance à l’alcool, à la drogue, au jeu, dépendance affective, et ce, c’est seulement d’un côté de ma famille

Ainsi, je suis incapable de boire une goutte d’alcool sans être automatiquement malade à la première gorgée. Mon médecin a conclu à une intolérance quelconque à une enzyme, mais je sais que ce n’est pas ça. Chaque fois que j’ai goûté à de l’alcool, dans ma tête je voyais les partys de famille qui virent en chicane, mon père qui avait un accident, mon oncle qui était responsable de la mort d’une personne, ma peur qu’une autre bataille éclate. En aucun cas, l’alcool ne peut être relié à quelque chose de positif pour moi. Ça ne me manque pas, même si je fais parfois figure d’extra-terrestre dans un milieu universitaire où l’alcool coule souvent à flot.

De la même façon, je n’ai jamais touché à la cigarette, à la drogue et je me tiens loin des casinos. Certains croient que tout ça est génétique. Je ne sais pas si c’est vrai, mais je sais que je suis excessive quand j’aime quelque chose. Quand je tombe dans une passion, j’y vais à fond et je crois que ça serait probablement la même chose pour ça.

Je sais que tous ne comprennent pas toujours mes motivations, mais j’ai la chance d’être entourée de personnes qui respectent mes choix. Plus encore, bien que je n’exige pas la sobriété permanente, il est important que la personne qui partage ma vie ait une vision semblable à la mienne. Car, une chose est sûre, une petite fille de huit ans ne devrait jamais être obligée de dire à son père de ne pas conduire parce qu’il a trop bu…

Merd...

12 août 2008

Trois jours... TROIS JOURS avant la fin de mon stage... Je fais ma première grosse gaffe... BRA-VO Jess!

Je suis reconnue!

05 août 2008

En fait, pas vraiment! J’ai eu ma première sollicitation pour faire un message commandité sur mon blogue. Ça ne dit pas ça directement, mais quand même… On m’offre de m’envoyer un mégagénial nouveau mascara et de me faire une opinion parce qu’on a « besoin de mon opinion de blogueuse » et que mon « opinion a du poids ».

Je suis allée voir le site, par curiosité. En lisant les conditions d’utilisations, ça me dit que juste le fait d’accéder au site crée des obligations juridiques et lorsque j’ai voulu lire la section confidentialité (parce qu’il faudrait quand même qu’il ait mon adresse pour m’envoyer leur produit extraordinaire), c’était écrit « à venir ». Rassurant.

Dommage que je ne me maquille pas… Ma « lourde » opinion devra servir à autre chose. ;)

Cela dit, je comprends que ça puisse intéresser… Admettons que si on m’avait offert de « tester » un livre, j’y aurais peut-être songé un peu plus…

Petit guide pour orgueilleuse (légèrement) repentante – Annie L’Italien

04 août 2008

Depuis quelques années déjà, Anne semble s’être installée dans un joyeux célibat. Toutefois, malgré une vie bien chargée, partagée entre le boulot qui prend trop de place, les séances de magasinage thérapeutique et les 5 à 7 avec ses précieuses copines, cette jeune trentenaire n’a pas complètement écarté l’idée de rencontrer un homme pour qui elle acceptera de perdre un peu de sa liberté. Mais l’homme en question se fait attendre.

Ses quatre amies ont d’ailleurs diagnostiqué qu’il s’agissait là d’une conséquence directe de son excès d’orgueil, ce défaut qui l’aurait trop souvent empêchée d’oser rigoler/pleurer/chanter/vivre pleinement : pour son anniversaire, elles lui offrent donc une étonnante chasse au trésor qui l’amènera à sortir de sa zone de confort, et, par la même occasion, à rencontrer un homme potentiellement intéressant. Un événement à la fois espéré et terriblement appréhendé par cette célibataire (pas tout à fait) endurcie. Osera-t-elle risquer le ridicule et s’ouvrir à l’inconnu?
Un livre léger que j’ai adoré. Pourquoi? Parce que je suis moi-même très, très, trop, orgueilleuse. En lisant ça, je savais que j’aurais réagi exactement comme Anne… et j’aurais eu envie de tuer mes amies qui m’auraient fait un coup pareil! Ce qu’on peut faire ou s’empêcher de faire par orgueil, je connais ça très bien… j’en aurais pris quelques chapitres supplémentaires!

Michel Rivard Symphonique

03 août 2008

Lundi soir, j’ai entraîné mes amis et mon chum voir Michel Rivard avec l’orchestre symphonique de Montréal. Grâce à la pluie, nous avons eu de très bonnes places assises à sept rangées de la scène. Malheureusement, il a commencé à pleuvoir peu avant le spectacle. Optimiste, je n’avais pas apporté de parapluie. J’ai donc été trempée en un rien de temps. Partout, des parapluies m’entouraient. À ma gauche, j’avais mes amis qui étaient emmitouflés sous le leur, et à ma droite, mon chum avait été recruté par une madame pour tenir son parapluie en échange d’une place en dessous. Donc, j’étais déjà sous la pluie, avec tout autour de moi des parapluies qui dégoûtaient leur trop-plein sur moi. Pas besoin de dire que j’étais trempée jusqu’aux os!

Heureusement, le spectacle en valait vraiment la peine. Les chansons, avec les arrangements de l’orchestre, étaient géniales. Je les connaissais presque toutes et on a eu droit à deux rappels… dont le fameux phoque en Alaska chanté par la foule. Vraiment, un bon spectacle. J’ai même eu des remerciements de T. de les avoir invités.

God Save les Françaises – Stephen Clarke

02 août 2008

Paul West a trouvé la Française de ses rêves. Elle n'a qu'un défaut : ses parents. Et même s'il jure ses grands dieux que l'empoisonnement de sa belle-mère n'était pas prémédité, sa fiancée, depuis, ne le regarde plus tout à fait du même oeil...

Sinon, entre deux siestes crapuleuses, Paul West n'a pas renoncé à ouvrir son salon de thé typiquement british. Mais il prend du retard car il se débat parallèlement avec quelques questions existentielles : les bureaucrates français sont-ils tous pervers? y a-t-il une manière de cuisiner les courgettes qui les rendrait comestibles? Comment une Française peut-elle décemment préférer un french lover à un sujet de Sa Majesté?
La suite du livre dont j’avais déjà parlé. Vraiment, j’ai eu du mal à accrocher à celui-là. Autant j’avais été charmée par le premier, autant j’avais du mal à embarquer et j’avais l’impression de tourner en rond dans le deuxième. À mon avis, il n’a été écrit que pour « surfer » sur la vague du premier. Beaucoup moins original, plus de raccourcis, une histoire prévisible… Bref, le premier est à lire, le deuxième peut être laissé à la bibliothèque.

Jean et chasteté

01 août 2008

Sérieusement, quand j’ai lu cet article, j’ai lâché un cri… Surtout cet extrait :
Selon la presse italienne mercredi, la Cour a ainsi une nouvelle fois confirmé mardi une jurisprudence datant de 1999 qui cassait le jugement d'une juridiction inférieure dans une affaire de viol selon lequel « il était de notoriété publique que ce type de pantalon ne pouvait être enlevé sans la collaboration active de qui le portait ».
Pardon??? Voir si un jean va empêcher une personne d’arriver à ses fins… Dire qu’il y a déjà un juge qui a sorti cette imbécillité! J’ai dû mal à y croire! Après, les gens se demandent pourquoi on ne parle pas quand ça nous arrive...