Déménagement!

27 janvier 2009

Je blogue maintenant : www.libellul.com.

Tout est fonctionnel, même s'il reste quelques liens à mettre à jour.

Au plaisir de vous y voir, n'oubliez pas de mettre vos liens et votre fil RSS à jour!

Jessica :)

Un déménagement se prépare...

25 janvier 2009

Pas moi, mais mon blogue, oui. Ça fait longtemps que j'y pense et j'ai décidé de "sauter le pas". Une nouvelle ville, une nouvelle vie, un "nouveau" blogue. Il n'y aura donc plus de message ici, sauf pour annoncer la nouvelle adresse, lorsque le déménagement sera complété.

J'espère que vous me suivrez dans cette nouvelle aventure! En attendant, je pars à la recherche d'un template...

D'ici là, les commentaires seront fermés pour être certaine que je n'en laisse pas en chemin, lors du déménagement.

P.S. Je suis consciente d'avoir utilisé le mot "nouveau" beaucoup trop souvent en si peu de lignes. ;)

Jessica, Lavalloise

24 janvier 2009

Voilà maintenant trois semaines que je suis déménagée dans mon nouveau nid lavallois. Maintenant que les problèmes domestiques sont réglés (réfrigérateur et laveuse qui rendent l’âme après leur voyage de 200 km, robinets qui coulent), je veux enfin dire que je suis chez moi. Ce n’est pas encore parfait, je dois faire partir les traces de sel qu’ont laissées mes déménageurs sur mon plancher (six lavages plus tard, ça commence à pâlir…), je dois trouver des stores qui remplaceront la toile de camping verte qui me sert de rideau dans mon bureau, mais surtout, je dois trouver le courage de peinturer, puisque le locataire précédent devait être pompette lorsqu’il l’a fait.

En fin de semaine, je vais chercher les trucs que j’ai oubliés à Sherbrooke et je vais ramener ma Grisouille. Mon foyer prend forme et, bien qu’il ne soit pas parfait, c’est chez moi pour les 18 prochains mois et je m’y sens bien.

Je ne réalise pas encore que j’ai vraiment quitté ma ville natale définitivement…

Retour sur Noël

22 janvier 2009

Noël, c’était il y a presque un mois, mais avec le déménagement, le début d’un nouveau travail, je n’ai pas eu le temps d’y revenir encore. C’était un Noël spécial pour moi, mon premier dans la famille de M. X, mais surtout, mon premier Noël en famille et sans chicane.

Quand mes parents étaient encore ensemble, on fêtait Noël dans la famille de mon père. Je n’ai jamais trouvé ça très agréable. D’abord, les enfants étaient reclus au sous-sol et ne pouvaient monter que pour manger et pour déballer les cadeaux. Le reste du temps, pendant que les adultes jouaient aux cartes, on devait rester en bas. Déjà, à 8 ans, je trouvais que ce n’était pas un vrai Noël. Ensuite, la soirée se finissait toujours en chicane, que ce soit dans un couple, entre frères, entre belles-sœurs, ça finissait toujours par crier et par le départ en grand fracas de quelqu’un. Il faut dire que l’alcool coulait à flot et que mon père et mes oncles n’ont pas l’ivresse joyeuse.

Lorsque mes parents se sont séparés, on a été plus ou moins bannies des partys de Noël, mes sœurs et moi, pour avoir « choisi » d’habiter avec ma mère. Donc, depuis 10 ans, je fêtais Noël avec ma mère et mes sœurs, et le soir du réveillon, je me payais un film au cinéma. N’ayant rien connu d’autre de plus positif, ça m’allait.

Si bien que, cette année, avec la vision d’au moins trois partys de Noël dans la famille de M. X, avec de 20 à 40 personnes par soirée, je stressais beaucoup. Pour rien. La famille de M. X est très chaleureuse, accueillante et j’ai eu l’impression d’en faire partie depuis toujours. Beaucoup de plaisir, les enfants mêlés aux adultes, des chansons, des traditions, un échange de cadeaux où tous s’intéressaient à ce que les autres recevaient, vraiment, de très belles soirées.

C’est ça que je veux offrir à mes enfants plus tard. Une soirée où le plaisir d’être ensemble prime sur tout le reste et où les tensions et les vieilles chicanes n’ont pas leur place. Je me suis réconciliée avec Noël, dans une famille élargie « empruntée » qui s’intéresse à moi et pour qui je ne suis pas seulement « la blonde de ».

Une semaine plus tard

20 janvier 2009

Je crois encore que cet emploi est vraiment fait pour moi. Je m’aperçois que ça va être beaucoup de travail, mais également très formateur. Comme je travaille pour un organisme à but non lucratif (OBNL) et que nous ne sommes que deux employés (ça m’inclut aussi), je suis amenée à faire de tout. Bien sûr, je fais des communications, j’ai déjà écrit plusieurs communiqués de presse. D’ailleurs, malgré que j’aie écrit au moins 250 communiqués dans les dernières années, c’est la première fois que j’écrivais mon nom comme source d’information… Ça fait un petit velours. Tout comme lorsque j’ai vu un article tiré de mon communiqué.

Sinon, je vais encore beaucoup de lecture pour m’approprier tous les programmes, mais j’en sais maintenant assez pour poser des questions précises et pour faire des suggestions. Cette semaine, à part écrire des communiqués, tout ce que j’ai fait était nouveau pour moi : faire le bilan annuel pour l’assemblée générale, faire des demandes de subventions et de commandites, écrire un appel d’offres pour trouver un graphiste. Je dois également réviser complètement notre site Web pour pouvoir demander au webmestre les changements qui me semblent urgents.

C’est moi qui dois trouver le thème de notre événement cette année, les couleurs, trouver des idées de porte-parole qui conviennent à notre commanditaire principal. D’ailleurs, ce sera de ma responsabilité de gérer l’horaire des porte-parole et de les accompagner dans les événements de presse.

J’ai du mal à réaliser que je serai, que je suis capable de faire tout ça. Juste des nouveautés, de nouveaux défis à relever, mais je ne me suis jamais sentie aussi confiante.

Honnêteté intellectuelle

12 janvier 2009

La première journée est bientôt presque terminée. Je dis presque parce que je dois y retourner ce soir pour rencontrer le conseil d’administration.

Ce fut une journée tranquille. Beaucoup de lecture et de photocopies.

J’ai appris aujourd’hui que j’avais des références béton. C’est intéressant à savoir, parce que, honnêtement, on ne peut jamais vraiment savoir ce que nos anciens employeurs pensent de nous. D’ailleurs, c’est grâce à ces références que j'ai eu l'emploi. À la fin de l'entrevue de groupe, j'étais leur candidate nº 1. Mais à la fin de l'entrevue individuelle, j'étais devenue leur deuxième choix parce que j'avais été trop honnête. Dans le fond, j'ai trop mis l'accent sur mes défauts plutôt que sur mes qualités. Ils ont quand même décidé d'appeler les références et c'est ça qui a fait la différence. J'avais peut-être été trop honnête, mais leur premier choix ne l'avait pas été assez et ils ont eu des surprises en appelant les références.

C’est la deuxième fois qu’on me met en garde contre mon « honnêteté intellectuelle ». La première fois, c’était à mon stage de cet été. C’est ce qui les avait convaincues de m’engager. Par contre, cette fois-ci, ç’a bien failli me jouer un mauvais tour. Je sais déjà que je suis incapable de mentir sans que ça paraisse. Il faudrait alors que j’évite de dire ce qu’on ne me demande pas spécifiquement…

Récapitulatif du début d’une nouvelle vie

11 janvier 2009

10 novembre : Comme chaque semaine, je reçois mon alerte-emploi d’Emploi Québec qui m’indique toutes les offres contenant le mot « communication ». J’y vois l’emploi de mes rêves, autant du côté des tâches, que du salaire et de la ville d’emploi.

11 novembre : J’envoie ma lettre de motivation et mon curriculum vitae.

12 novembre : Je m’aperçois que j’ai envoyé la lettre de présentation que j’ai écrite pour un autre emploi à la place de mon curriculum vitae. J’essaie de renvoyer le tout en vain : la boîte de courriel est pleine. Pendant une semaine, j’essaie, mais ne réussis toujours pas à envoyer les bons documents.

17 novembre : Découragée, j’y vais pour le tout pour le tout : je trouve l’adresse postale et j’envoie ma lettre de motivation et mon curriculum vitae. J’en profite pour ajouter des exemples de textes que j’ai déjà écrits.

Les jours passent, pas de nouvelles. Dans ma tête, j’ai manqué ma chance.

4 décembre : J’ai un message sur mon répondeur après mon cours du soir : je suis convoquée à une entrevue de groupe! Deux groupes de six personnes passeront cette entrevue.

9 décembre : Jour de l’entrevue de groupe et également jour de la première grosse tempête de neige. À part moi, tous les autres sont de la région de Montréal. Sur les douze convoqués, seulement neuf se présenteront. Je sens que le fait d’être venu de Sherbrooke, malgré la tempête, joue en ma faveur, malgré le fait que j’arrive 20 minutes en retard à l’entrevue. J’apprends plus tard que les évaluateurs sont également arrivés en retard. L’entrevue de groupe se passe plutôt bien, même si les mises en situation me gèlent un peu (moi qui déteste déjà parler au téléphone, faire semblant de le faire en face de six autres personnes ne m’aide pas). Des neuf personnes, seulement trois seront convoquées en entrevue individuelle.

11 décembre : Encore une fois, j’ai un message sur mon répondeur après mon cours du soir. Je suis convoquée à l’entrevue individuelle!

15 décembre : Cette fois, c’est une grosse averse qui complique les transports. Je réussis tout de même à arriver 15 minutes à l’avance. L’entrevue dure environ 30 minutes et est plutôt décontractée. J’en ressors avec le sentiment d’avoir été « trop » honnête, mais je crois quand même avoir fait une bonne impression. Avant de partir, j’écris la lettre qui servira à tester les habiletés en français et en rédaction. Une réponse nous sera donnée avant la fin de la semaine.

17 décembre : Je suis convoquée à un test pour un autre emploi, le vendredi suivant.

19 décembre : Je dois partir pour Montréal pour passer mon test. J’appelle la directrice pour lui demander s’ils ont pris une décision. Je lui explique la raison de mon appel, comme quoi je ne me déplacerai pas inutilement à l’autre entrevue si j’ai l’emploi. Elle me dit qu’elle ne peut me répondre tout de suite, car elle attend un retour d’appel. Elle essaiera de m’appeler avant l’heure de mon départ. Dans ma tête, c’est foutu. Elle attend la réponse de la personne à qui elle a offert le poste. Elle me rappelle cinq minutes avant mon départ : j’ai le poste! C’est moi qui ai été choisie! J’ai du mal à y croire. J’appelle à l’autre endroit pour annuler mon test.

21 décembre : Je laisse un message à un propriétaire à propos d’un logement à deux coins de rue de mon futur travail.

22 décembre : Le propriétaire me rappelle et on planifie une visite pour le lendemain.

23 décembre : Je visite l’appartement, qui me convient très bien. Je remplis les papiers pour l’enquête de crédit.

24 décembre : Le propriétaire m’appelle pour me dire que l’appartement est à moi.

28 décembre : Signature du bail.

2 janvier : Déménagement dans mon nouvel appartement, dans une nouvelle ville. Par le fait même, deux heures de moins me séparent de M. X.

Demain, 12 janvier : Début officiel et signature de contrat.

L’année 2009 commence en beauté!

Bonne année!

01 janvier 2009

Je vous souhaite à tous une belle année 2009!

Je vous reviens après mon déménagement (le 2 janvier) et après avoir fêté Noël (le 3 janvier).

Au menu au début 2009 :
  • Détails sur l'emploi;
  • Noël en famille;
  • Déménagement à Laval;
  • Vêtements de JTJ;
  • Et bien d'autres sujets, intéressants, ou pas!