04 mars 2008
Hier, j’avais un test pour un des stages à Montréal. (Je ne me souviens plus du numéro que je lui avais donné, ma liste est à la maison) Ce stage m’intéressait au moment où je l’ai sélectionné dans la liste, mais plus j’y pensais et moins je me voyais travailler à cet endroit. Je suis tout de même allée au test : j’avais été choisie parmi 38-40 personnes, je n’allais quand même pas les laisser tomber. Je me suis donc présentée, mais en voyant le test, j’ai figé, complètement. Il n’était pas si compliqué, mais la deuxième partie, plus artistique, me bloquait et m’empêchait de faire la partie facile (rédaction). Pendant 15 minutes, j’ai fixé la première page, incapable d’écrire un mot, pensant trop à la deuxième partie… Finalement, j’ai rangé mes trucs, et je suis partie après avoir tout juste écrit un titre (poche, soit dit en passant). C’est ce que j’appelle un autosabotage. Ça ne m’inquiète pas outre mesure : il me reste 13 autres possibilités.