Méli-mélo

18 mai 2008

Bra-vo

Je me suis enfermée dehors hier. J’avais oublié mes clés sur mon bureau. D’habitude, je vérifie toujours avant de partir, mais j’avais trop hâte d’aller profiter du soleil il faut croire. Ce n’est qu’en sortant du métro pour revenir chez moi que j’ai allumé. En plus, je savais que ma coloc était partie pour tout l’après-midi et peut-être même la soirée. 13 h, dehors pour le reste de la journée. J’ai appelé J. et je suis allée squatter chez elle tout en laissant un message à ma coloc de me rappeler. Finalement, j’ai réussi à la joindre à 20h30, juste avant qu’elle parte passer le reste de la fin de semaine à Québec… Il est vraiment temps que je lui demande le numéro du propriétaire…

Les chroniques de Narnia : Prince Caspian
Beaucoup moins de magie que dans le premier, mais tout aussi intéressant. C’est vraiment rare que je trouve les films supérieurs, et de loin, aux livres. Beaucoup plus d’actions, les effets spéciaux sont particulièrement réussis. J’ai beaucoup aimé la scène avec la rivière. J’espère qu’ils vont en faire un troisième, mais la fin du film laisse penser que oui.

Edit : La suite est en préproduction pour une sortie en 2010!

Coup de tête de nuit
En revenant du cinéma avec J. hier, elle a décidé qu’il était temps que j’apprenne à conduire manuel. Une heure de matin semblait pour elle le meilleur moment pour cet apprentissage. Il paraît que j’appends vite, mais je vais quand même me méfier la prochaine fois que j’embarque avec elle à l’heure de pointe… d’un coup qu’elle voudrait continuer à ce moment-là!

Les envahisseuses – Linda Jaivin
Avec le résumé du livre, je ne m’attendais pas à des miracles, mais je croyais quand même que ce serait meilleur que ça. Je ne l’ai pas encore terminé, mais comme il ne reste qu’une vingtaine de pages, je devrais le finir aujourd’hui. J’ai failli l’abandonner à quelques reprises. Ce livre n’est qu’une tonne de prétextes pour parler de sexe, dans toutes les conditions, pour ne pas dire, dans toutes les positions – avec des extraterrestres qui changent de forme, celles-ci sont multipliées. Bref, une déception plus ou moins prévisible.

P.-S.
Quand on le sait qu’on va se faire avoir, qu’on fonce tout de même, et qu’on se fait finalement avoir… Ne devrait-on pas se sentir un peu mieux, parce qu’on l’avait vu venir?