Une semaine d’écoulée déjà depuis le début de la session. Bon, si je compte chaque semaine, la session va me sembler longue, mais ç’a quand même été toute une semaine. Entre les « premiers » cours, les rendez-vous médicaux et moins médicaux (me voilà avec de nouveaux yeux et de nouveaux cheveux), le travail, les repas au resto de retrouvailles entre amis, les visionnements de films et la quête de « la fille qui veut faire relier ses notes de cours avant la semaine des quatre jeudis », je n'ai pas vu le temps passer. Et malgré tout ça, je n'ai eu que trois cours sur cinq jusqu’à maintenant.
Après une fin de semaine tout aussi occupée, tout en étant plus relax (don de sang, trampoline, lectures obligatoires, bavardage entre filles, cinéma), j’attaque la semaine avec qu’une seule envie : je veux qu’on soit déjà vendredi. Mais avant ça, il me reste encore à assister à trois cours, dont deux encore inédits, deux séances de travail, un entraînement en piscine, deux entraînements au gym, une rencontre avec ma coordonnatrice pour revenir sur mon dernier stage, des curriculum vitae à envoyer pour me trouver un deuxième emploi, des centaines de pages à lire, à annoter et à « postiter » (beau néologisme, je sais), et j'en oublie sans doute...
Minute quétaine : je m'ennuie de D. (aussi connu sous M. X). Je crois aux relations à distance, surtout quand c'est seulement pour quelques mois... mais c’est tout de même long. Et puis, ce n’était vraiment pas une bonne idée de passer huit jours, 24h sur 24 ensemble juste avant d'être séparés...