Fourre-tout

05 novembre 2008

La route est longue
J’avais un mariage à Sainte-Julienne en fin de semaine. Je suis partie à 8h30 vendredi matin et je comptais arriver vers 11h. Illusion. Juste avant que j’entre dans le tunnel, il a été fermé à cause d’un accident. Détour. Pancarte pas claire. Je me suis ramassée sur la 20, en direction de Québec, à la hauteur de Saint-Bruno. On change de direction, on se plonge dans les embouteillages… Appel de Jenn pour me demander ce que je fais. Elle m’indique un chemin alternatif. J’arrive à destination à 13h30. 5h pour faire un trajet qui aurait dû prendre 2h30. Sainte-Julienne, c’est vraiment loin!

Je danse
… et plus seulement dans ma tête! Je n’ai jamais été une fille qui danse pendant les partys. Je suis du genre à avoir du plaisir à regarder les autres. En fin de semaine par contre, je ne sais pas ce qui s’est passé, mais j’ai été sur la piste de danse toute la soirée. J’en ai encore mal aux mollets tellement je me suis déchaînée. À mon avis, c’est l’effet du « costume ». Non, ce n’était pas un party d’Halloween, mais un mariage. Sauf que, pour une fille qui n’a jamais porté de robe longue chic, c’est comme un déguisement. Je crois que j’ai débloqué et que plus jamais je ne me ferai prier pour danser.

Travail dans le vide
Hier, j’avais un article, deux communiqués et un avis de convocation à écrire, un document à réviser, un plan de commandite à développer, une revue de presse à faire, un logo à réaliser, un plan d’action à mettre en forme, un dépliant à créer et une liste de députés à établir. Tout ça, à travers les téléphones et les étudiants qui se présentent. J’ai été particulièrement efficace, puisque j’avais déjà terminé la moitié de cela avant midi. Par contre, ça s’est gâché en après-midi. Alors que le communiqué que j’avais écrit et fait approuver était déjà envoyé à la presse, mes « employeurs » ont changé d’idée. Donc, écriture d’un avis aux médias pour qu’ils ne tiennent pas compte du communiqué. Le reste de la journée a été ainsi… chaque fois que je terminais quelque chose d’urgent, on m’annonçait qu’il ne servirait probablement pas… Ce sont des choses qui arrivent, mais ça fait une journée décourageante un peu.

Dévalons les pentes
M. X, moniteur de ski depuis plusieurs années, a décidé que je deviendrais son élève cet hiver. J’en ai fait en cinquième et sixième année, lors des cours d’éducation physique, mais plus depuis. J’avais adoré à l’époque. J’ai vraiment hâte de m’y remettre. J’ai bien l’intention d’être son élève la plus enthousiaste, bien que probablement la plus maladroite!