Petite histoire de la chanson québécoise

30 octobre 2008

À votre avis, qui est à l’origine du premier vidéoclip québécois? Dubois? Charlebois? Dufresne? Que nenni!

C’est Yves Jacques qui, en 1981, a créé le premier vidéoclip d’origine québécoise avec son « hit » On ne peut pas tous être pauvre.

Avertissement : cette chanson colle dans la tête!

L’arroseur arrosé?

27 octobre 2008

Je réponds au téléphone, c’est M. Bête qui veut parler à Collègue Y. Je lui dis de patiente, je le mets en attente et le met en communication avec le poste de Collègue Y. Malheureusement, un problème technique fait en sorte que la ligne raccroche. J’attends donc qu’il rappelle. Pendant ce temps, un message est laissé sur la boîte vocale. Je prends le message et aussitôt que je raccroche, je vois qu’il y a un autre message, probablement laissé pendant que je prenais le premier. C’est M. Bête. « Bonjour Madame. Merci beaucoup de m’avoir raccroché au nez parce qu’il était midi et que vous vouliez aller manger. J’apprécie beaucoup. Si vous êtes capable, s’il vous plaît, demandez à Collègue Y de me rappeler au… ».

En professionnelle que je suis, je transmets le message à Collègue Y et lui demande de spécifier à son interlocuteur que c’est un problème technique qui est à l’origine de l’événement.

Dix minutes plus tard, je vois arriver quelqu’un. C’est M. Bête qui n’ose pas me regarder dans les yeux. Il me demande de parler à Collègue Y parce que son cellulaire a lâché et qu’il n’a pas pu finir sa conversation… Tiens, tiens, un problème technique!

Et maintenant que j’y pense… Si son cellulaire a lâché une fois, se pourrait-il, hypothétiquement, que ce soit également son cellulaire qui était à l’origine de la fin abrupte du premier appel?

Je me suis tue, en mangeant mon lunch devant mon téléphone… attendant qu’il sonne.

Scène à scène

23 octobre 2008

SCÈNE 4.6, intérieur nuit

Damien met à jour son site érotique à l’effigie de Candy.
Je suis vraiment en train d'écrire ça pour un cours universitaire?

Salon et religion

21 octobre 2008

Deux sujets qui n’ont pas de liens.

Salon du livre
C’était le salon du livre de Sherbrooke en fin de semaine. J’y vais depuis que je suis toute petite, même si j’avais moins d’intérêt ces dernières années. Il faut dire qu’il portait bien son nom de « salon ésotérique », où il semblait y avoir autant de maisons d’édition connues que de maisons spécialisées en croissance personnelle. L’an passé, c’était déjà beaucoup mieux, et cette année encore plus. Pour la première fois, je n’ai rien acheté. Ce n’est pas l’envie qui manquait par contre. À la place, j’ai pris en note les livres qui m’intéressaient pour les ajouter sur ma liste à emprunter à la bibliothèque. Je ne suis pas soudainement devenue raisonnable… mais quand je pense à mon déménagement prochain, dans une autre ville, et à tous les livres que j’ai déjà, mon dos crie déjà à l’aide!

Éthique et culture religieuse
Sérieusement, je ne comprends pas le tollé autour du nouveau cours d’éthique et culture religieuse. Il est si pire que ça? Parce que si on lit le programme, ça ne semble pas être la mer à boire. Les enfants sont exposés aux autres cultures dans leur quotidien, pourquoi ne pas leur donner les outils qu’il faut pour comprendre les différences auxquelles ils sont confrontés? Ce que je trouve bizarre dans tout ce débat, c’est que, somme toute, bien peu de gens ont crié lorsqu’on a annoncé le retrait des cours d’enseignement religieux catholique, mais qu’on entend partout maintenant que le cours d’éthique et culture religieuse empêche les parents de décider dans quelle religion leur enfant va être élevé. On vit dans un monde multiculturel, ça ne peut être qu’un atout de mieux connaître le monde qui nous entoure.

Ce cours ne vise pas à convertir les enfants, mais à les ouvrir sur les autres, c’est d’ailleurs pour ça que plusieurs religions seront abordées. J’aurais aimé suivre ce cours plus jeune...

D’accord, je n’ai pas encore d’enfants et, en plus, je suis athée, mais je trouve utopique de penser qu’on peut complètement ignorer un aspect qui prend autant de place dans la vie de plusieurs…

Quel message envoie-t-on aux enfants (et adolescents) en leur disant qu’il est correct de ne pas assister à ce cours...

100 choses inutiles sur moi

17 octobre 2008

Je n'ai pas été taguée, mais comme j'ai du temps à perdre, et que je dois obligatoirement être devant un ordinateur, pourquoi pas!


  1. Je m'appelle Jessica, mais j'ai bien failli m'appeler Cynthia. Ma cousine née 3 semaines avant moi devait s'appeler Cynthia, alors ma mère a changé d'idée. Finalement, ni ma cousine, ni moi-même, ne portons le prénom de Cynthia.
  2. Dans mon bloc, on me surnomme le fantôme. Lorsque nous y avons emménagé, je suis partie en immersion anglaise pour ensuite commencer le cégep à temps plein. Pendant trois ans, les gens ont cru que ma mère n'avait que deux filles.
  3. Je suis Vierge, ascendant "une bibitte, mais je ne sais pas laquelle", je crois que c'est scorpion.
  4. Je suis l'aînée de trois filles et quand j'étais jeune, ça me frustrait de voir mes petites soeurs avoir des permissions plus rapidement que moi parce que moi j'avais été raisonnable.
  5. Je n'ai gagné que deux concours dans la vie : un concours de dessin à ma commission scolaire en maternelle, et une concours de l'OQLF il y a 4 ans.
  6. Le prix du concours de dessin était un séjour de 3 jours dans un camp de vacances. J'ai passé les deux premiers jours à pleurer parce que je voulais partir, et le dernier à pleurer parce que je voulais rester.
  7. Le prix de l'OQLF était un voyage pour deux en France.
  8. Je suis allée à Marseille une semaine. Je m'ennuie encore des calanques.
  9. La première amie que j'avais invitée à m'accompagner a refusé.
  10. C'est finalement J. qui est venue avec moi, et je ne l'ai jamais regretté.
  11. Je suis allergique aux fruits de mer. Je trouve que ça semble terriblement bon. probablement l'interdit.
  12. Le jour de l'annonce de la séparation de mes parents est l'un des plus beaux jours de ma vie.
  13. Mes parents sont séparés depuis près de 10 ans.
  14. Mon père espère encore que ma mère va revenir.
  15. J'ai eu trois poissons dans ma vie, ils sont tous morts gelés parce que je dormais la fenêtre ouverte l'hiver.
  16. Je suis très orgueilleuse.
  17. J'ai déjà eu un article sur moi dans le journal.
  18. Je suis déjà passée à la télévision.
  19. J'adore les jeux de société.
  20. Je suis très compétitive.
  21. Jusqu'à maintenant, j'ai fait trois voyages : un pour faire le tour de la France, un à Marseille et un à St. John's, Terre-Neuve.
  22. Jusqu'à récemment, j'avais visité plus de pays étrangers que de provinces canadiennes autre que le Québec.
  23. Je connais l'alphabet en LSQ et ça m'a déjà servi.
  24. J'ai perdu un an entre le Cégep et l'Université parce que le Cégep avait perdu mon diplôme.
  25. J'adore l'histoire, mais je n'ai aucune mémoire pour les dates.
  26. Je rêve encore parfois de devenir enseignante, même si j'ai abandonné mon bac en enseignement il y a trois ans et que je suis parfaitement heureuse dans mon domaine maintenant.
  27. Je rêve d'aller à Londres prochainement.
  28. Jusqu'à dernièrement, je n'avais aucune attirance pour la ville de Paris. On dirait que maintenant que M. X est dans ma vie, j'ai envie d'y aller avec lui.
  29. Ma rencontre avec M. X est le fruit d'un "matchage" réussi.
  30. Depuis le 8 juillet, j'ai l'impression de devenir de plus en plus quétaine chaque jour.
  31. Ma fleur préférée est la marguerite.
  32. Quand je suis née, j'étais bleue. Ça reste depuis ma couleur préférée. Je ne sais pas s'il y a un lien.
  33. Pendant des années, j'ai pensé que j'étais adopté. Parce que j'étais blonde et que mes parents et mes soeurs avaient les cheveux noirs ou bruns très foncés.
  34. En fait, je ressemble à mon grand-père paternel, qui était roux.
  35. J'espère par contre ne jamais avoir son nez.
  36. Je suis encore très différente de ma famille.
  37. Je suis la seule intravertie.
  38. Dans ma famille proche ou éloignée, je suis la seule à être allée à l'Université.
  39. Je suis la première à avoir eu un diplôme d'étude collégial.
  40. À cause du no. 38, mes oncles et tantes ont longtemps pensé que j'étais homosexuelle.
  41. Ils le pensent encore je crois.
  42. Et non, je ne vois toujours pas le lien.
  43. J'adore la lecture, je lis de tout.
  44. Un été, on m'a déjà empêchée de lire parce que je ne sortais plus dehors.
  45. J'ai eu mon premier travail à 12 ans.
  46. J'étais aide-monitrice à l'OTJ.
  47. J'ai découvert que ceux qui ne viennent pas de mon coin ne savent pas ce qu'est l'OTJ.
  48. L'OTJ, c'est un camp de jour.
  49. J'ignore encore ce que veulent dire les lettres prisent séparément.
  50. Je suis quelqu'un de très gênée qui paraît souvent froide quand on ne voit pas plus loin.
  51. J'adore les choses ordonnées.
  52. Je classe mes DVD en ordre alphabétique.
  53. Si j'avais de la place, j'aurais une bibliothèque très bien rangée.
  54. Je classe également mes CD en ordre alphabétique.
  55. J'ai beaucoup trop de livres et de DVD.
  56. J'ai 154 DVD à ce jour.
  57. Il y en a une dizaine d'autres sur ma liste au père Noël.
  58. J'ai arrêté d'acheter des livres, parce que je les lis trop vite.
  59. Je déteste l'hypocrisie.
  60. Je commence à me sentir égocentrique de parler juste de moi dans ce message.
  61. Mon repas préféré est la lasagne.
  62. J'adore chanter à tue-tête dans ma voiture.
  63. Je chante plutôt mal.
  64. J'étais soliste dans la chorale de Noël.
  65. À cause du no. 63, je crois que j'ai été nommée soliste pas parce que je chantais le mieux, mais parce que je chantais le moins mal.
  66. J'ai commencé ma scolarité en orthopédagogie en français. Un peu ironique pour quelqu'un qui se dirige vers la rédaction.
  67. Je suis très bonne en math.
  68. Je déteste les maths.
  69. Ça doit demander trop de concentration.
  70. J'adore les comédies musicales.
  71. J'ai peur dans le noir.
  72. J'ai été dans les scouts mixtes pendant 5 ans et demi.
  73. J'ai déjà assisté à deux émissions de Drôle de vidéo.
  74. Le prix de présence était une photo avec Jean-Michel Dufault.
  75. J'ai gagné et j'ai cédé mon prix à une madame en pâmoison devant l'animateur.
  76. Je m'entends mieux avec mes sœurs quand je n'habite pas avec elle.
  77. J'ai hâte d'avoir des enfants.
  78. Tout le monde croit que je suis hyper studieuse. Pourtant, je pourrais avoir de bien meilleures notes si j'étais vraiment sérieuse.
  79. Je suis très exigeante envers moi-même, bien que je sois paresseuse sur les bords.
  80. Je suis incapable de mentir, tout se voit sur mon visage.
  81. J'ai envie d'aller à Florence, aux Îles Galapagos, en Espagne, en Grèce...
  82. Je suis obsédée par le fait de manquer d'argent.
  83. Quand j'étais petite, c'était les pompiers qui nous donnaient des cadeaux.
  84. J'espère être capable de payer les études supérieures de mes enfants.
  85. La première fois que j'ai présenté M. X à mon père, ce dernier lui a présenté sa collection de film XXX. J'avoue que j'ai eu honte.
  86. Ma mère n'est pas du tout gênée et ses réflexions publiques m'ont parfois gênée.
  87. J'écoute beaucoup trop la télévision.
  88. Je suis une mordue de cinéma.
  89. Je regarde beaucoup trop de films de filles par contre.
  90. Mon film préféré est Love Actually.
  91. Je fonds lorsque j'entends un homme avec un accent britannique.
  92. Ma vie est tellement belle ces temps-ci, que j'ai l'impression que je vais me réveiller et qu'elle ne sera qu'un souvenir.
  93. J'ai eu un kick sur un moniteur à mon dernier camp d'immersion anglaise.
  94. J'ai aimé le même garçon pendant 8 ans.
  95. Ça été réciproque pendant 2 ans, mais j'ai été trop niaiseuse pour le croire.
  96. J'ai hâte à ma collation des grades "extraordinaire".
  97. J'ai du mal à faire confiance.
  98. Je ne suis pas rancunière, mais une fois ma confiance perdue, c'est quasi impossible de la récupérer.
  99. Je collectionne les signets (marques-pages).
  100. Rien ne me fait plus plaisir que de voir "Vous avez reçu un nouveau courrier électronique de M. X".
Bravo si vous vous êtes rendus jusqu'ici! Je tague Dobby, Geneviève (toutes les Geneviève) et Marius! Comme d'habitude, aucune obligation. ;)

Le froid modifie la trajectoire des poissons - Pierre Szalowski

4 janvier 1998. Un garçon de dix ans apprend que ses parents vont se séparer. Désespéré, il demande au ciel de l’aider. Le lendemain débute la plus grande tempête de verglas que le Québec ait jamais connue.

Ce déluge de glace n’empêche pas son père de quitter la maison. Mais pour ses voisins, des évènements incroyables ou anodins font en sorte que leurs vies basculent peu à peu. Julie, danseuse en mal d’amour, accueille chez elle Boris, scientifique égocentrique, qui ne vit que pour ses expériences sur les poissons; Michel et Simon, les deux « frères » si discrets, qu’on ne voit jamais ensemble, ouvrent leur porte à Alexis, leur voisin homophobe.

Face à l’adversité, des liens se créent; face au froid, l’entraide, la solidarité et l’altruisme enflamment les cœurs. Notre héros, lui, ne sait pas trop où le ciel veut en venir jusqu’au moment où son père, victime d’une mauvaise chute à cause du verglas, n’a d’autre solution que de réintégrer le toit familial, les deux bras dans le plâtre. Le Grand verglas va progressivement changer la vie de tous les habitants de cette rue, pour le meilleur.


Je suis passée très rapidement à travers ce livre. Qui ne se souvient pas où il était pendant la tempête de verglas? Je me rappelle que, dans mon cas, cela avait duré seulement trois jours. Ce livre nous donne le goût de revivre la tempête pour les rencontres à faire en cas d’extrême nécessité. Un peu d’amour, beaucoup d’amitié, les liens se tissent et se resserrent alors que la glace s’accumule un peu partout. Le verglas ne devient alors qu’un prétexte : le prétexte à se concentrer sur ce qu’il y a de positif dans la vie.

Rédaction, création

08 octobre 2008

À la dernière session, j’avais pris un cours de rédaction créative. Pour avoir un cours facile? Oh que non! C’était par défi. Bien que j’écrive avec une certaine facilité toutes sortes de documents, lorsque vient le moment d’écrire en utilisant mon imagination, ma créativité, c’est le néant. Tout ce qui me vient en tête me paraît fade, ennuyant, du déjà vu, bref, rien de nouveau sous le soleil. À la suite de ce cours, j’étais ressortie avec ma nouvelle de 20 pages, qualifiée de bien écrite, mais d’un peu ennuyante. Pas une grosse surprise pour moi, mais j’espérais quand même faire mieux.

Cette session-ci, par volonté de continuer à m’améliorer (ou par masochisme, au choix), j’ai pris un cours de rédaction de scénarios. Encore une fois, j’entendais mes collègues de classe dirent que ça allait être un cours facile. C’est beau l’insouciance. À la fin de ce cours, on doit avoir écrit le scénario complet d’un court métrage de 20 minutes. La semaine dernière, c’était la remise du synopsis et de la description des personnages. En arrivant en classe, on devait se mettre en groupe de 4-5 et lire notre synopsis à voix haute. Sueurs froides. Je suis très pudique avec mes écrits créatifs. Je suis passée à travers l’exercice sans trop de dommages, avec de bons commentaires de mes collègues.

Hier, ce sont les commentaires du prof, un auteur connu dans la région et dont j’ai vu plusieurs pièces de théâtre quand j’étais adolescente, que j’ai reçus. Ouch! Outre le fait que j’ai reçu la pire note de toute ma carrière universitaire, mon histoire est fade, la fin est faible, les réactions de mon personnage sont disproportionnées par rapport à l’enjeu, bref, pas grand-chose de valable. Le pire, c’est que je ne peux qu’être d’accord avec lui. Une chance que j’ai bien décrit mes personnages, parce que j’aurais frôlé la catastrophe…

Maintenant, je stresse. Dans trois semaines, je dois remettre mon scène-à-scène et je ne sais pas quoi faire. Est-ce que je garde mon histoire en améliorant les points à changer, ou est-ce que je pars complètement à neuf, en risquant de passer à côté encore une fois?

Je devais dormir très profondément quand la créativité est passée…

Un livre, un film et deux découvertes

06 octobre 2008

Les Bourgeois de Minerve – Maryse Rouy
Durement frappée par la croisade des Albigeois (cent quarante hérétiques cathares brûlés sur la place de l’église), Minerve, petite cité languedocienne, semble ensuite couler des jours tranquilles en ce mitan du XIIIe siècle. Pourtant, le catharisme officiellement interdit par l’Église catholique n’en survit pas moins dans les chaumières et les esprits, vivace quoique dissimulé. La découverte du cadavre d’un dominicain à quelques pas de l’enceinte de la citadelle va bouleverser la paisible routine minervoise et faire revivre les affres du passé. L’arrivée d’un inquisiteur, mandaté par l’évêque pour élucider la mort du dominicain et extirper pour de bon l’hérésie, ravive de vieilles plaies et des querelles assoupies. Le temps d’une enquête, les passions se nouent et se dénouent pour le meilleur et le pire.
J’ai dû m’y prendre à deux fois pour lire ce livre. Je crois que la première fois, je n’étais pas dans une période où je pouvais l’apprécier : trop occupée, je le laissais de côté longtemps et je perdais ainsi le fil de l’histoire. J’ai bien aimé la deuxième fois par contre. Il faut dire que j’adore tout ce qui est historique. J’ai eu un peu de mal à distinguer les personnages les uns des autres, parce qu’il y en a beaucoup et que je ne voulais pas nécessairement me référer à leur présentation au début du livre, mais une fois dans l’histoire, ça s’est tassé. J’ai apprécié le fait que plusieurs petites histoires s’entrecroisent, ça permet de mettre un peu plus de profondeur à l’ensemble. Je vais probablement le relire un jour, parce qu’il y a certains détails qui m’ont échappé et, en sachant la fin, je pourrais probablement m’y retrouver un peu plus.

Ce livre conclut mon défi de lecture Au nom de la rose. Merci à Grominou pour l'organisation! À suivre l'an prochain j'espère. ;)

C’est pas moi, je le jure!
L'année 1968 marque un tournant dans la vie du petit Léon Doré, dix ans. Sa fausse tentative de suicide, par pendaison, passe à un doigt de réussir. Peu après, sa mère neurasthénique, qui étouffe auprès de son mari, part s'établir en Grèce, laissant leurs deux fils à ses soins. Tandis que son frère aîné cultive sa rancœur, Léon pille et met sens dessus dessous la maison des voisins partis en vacances, feint un handicap visuel pour justifier ses mauvaises notes en classe, manigance, manipule, tourne son père et tous les autres en bourrique. À l'exception de Léa, la jeune voisine qui voit clair dans son jeu et qui, ayant elle-même des comptes à régler avec le destin, va aider Léon à voler de l'argent afin qu'il puisse s'acheter un billet d'avion pour la Grèce.
Quel bon comédien que celui qui joue Léon! On s’attache rapidement à lui, malgré toutes les bêtises qu’il fait de façon volontaire. J’ai trouvé que le film était un peu long par bouts, mais c’était bien tout de même. Je vais probablement lire les livres, qui sont sûrement encore mieux que le film. Juste pour le jeu des enfants, ça vaut la peine de voir ce film!

Deezer

C’est Jo qui me parle de ce site depuis très longtemps, et je dois avouer que je suis d’accord avec elle, c’est vraiment génial! Ça permet d’écouter de la musique en ligne, de façon légale, de faire des listes qu’on peut partager. On peut également écouter des radios thématiques et permettre au site de faire le tri de ce qu’on aime ou pas, et d’ainsi, graduellement, nous donner de la musique qu’on aime. J’ai déjà fait de belles découvertes. Je vous recommande Deezer!

AmigoExpress

Régulièrement, je monte dans les Laurentides pour aller voir M. X. C’est environ 2 h 15 d’autoroute. La semaine dernière, je suis tombée sur le site d’AmigoExpress, un site de covoiturage dont l’inscription est gratuite pour les étudiants. Je me suis dit que ça valait la peine d’essayer, je n’avais rien à perdre. J’ai donc mis une annonce mercredi passé, et après seulement une heure, j’avais déjà une réservation. Vendredi midi, toutes les places de mon auto étaient prises. Ce fut bien agréable! Le trajet a passé beaucoup plus vite, même si j’ai laissé mes covoitureurs à Bromont et à Richelieu. Voilà qui rend l’utile à l’agréable : un trajet plus intéressant que seule et mon essence est payée. Je n’ai pas mis d’heure pour le retour, parce que je n’ai pas envie de quitter à heure fixe, mais j’ai tout de même laissé mes coordonnées à mes passagers, s’ils voulaient revenir en même temps, ce qui fait que j’ai repris quelqu’un à Richelieu pour le retour. Une belle expérience en somme! Je viens de remettre une annonce pour vendredi…

En cours

02 octobre 2008

Quand le devoir d’un cours est d’écouter en boucle l’album Un trou dans les nuages de Michel Rivard, est-ce qu’on a le droit de se plaindre?

Je ne crois pas… ;)

Élections

01 octobre 2008

Dernière fois que je mentionne les élections fédérales... mais ÇA! Je suis sans voix. Si c'est là, c'est parce que quelqu'un l'a déjà demandé...